- lun. 9 janv. 2023 07:35
#37654
Bonjour, ceci est un appel urgent d'SOS concernant ma belle-fille, la fille ainée de mon mari.
Maïa P. a 20 ans et est étudiante en psychologie à la faculté de Aix-en-Provence. Comme toute étudiante, elle loue un appartement en colocation, a des frais de vie en conséquence, des frais de transport pour aller à ses cours etc. Du a un passif d'évènements traumatiques avec sa mère, elle a aussi un suivi psychologique obligatoire à respecter. Cela encours des frais conséquents en cohérence avec le niveau de vie dans la région d'Aix-en-Provence or Maïa P. n'a pas accès aux allocations estudiantines dont elle devrait avoir droit car sa mère Mme. Amélie C. persiste à la déclarer résidente sous le toit maternel. Du coup, de ce que je comprends, Mme. Amélie C. perçoit les allocations qui devraient être versées à sa fille Maïa P., allocations qui permettraient à cette jeune fille de vivre une vie estudiantine normale et compléter ses études sans ultérieurs soucis financiers, comme l'état français le conçoit pour tous ses citoyens étudiants. N'ayant accès à aucun document pour prouver mes dits mais étant très inquiète, en tant que maman moi-même, de l'équilibre de vie financier et psychologique de Maïa P., je m'en remet à vos conseils pratiques pour venir en aide à cette jeune fille.
Maïa P. a 20 ans et est étudiante en psychologie à la faculté de Aix-en-Provence. Comme toute étudiante, elle loue un appartement en colocation, a des frais de vie en conséquence, des frais de transport pour aller à ses cours etc. Du a un passif d'évènements traumatiques avec sa mère, elle a aussi un suivi psychologique obligatoire à respecter. Cela encours des frais conséquents en cohérence avec le niveau de vie dans la région d'Aix-en-Provence or Maïa P. n'a pas accès aux allocations estudiantines dont elle devrait avoir droit car sa mère Mme. Amélie C. persiste à la déclarer résidente sous le toit maternel. Du coup, de ce que je comprends, Mme. Amélie C. perçoit les allocations qui devraient être versées à sa fille Maïa P., allocations qui permettraient à cette jeune fille de vivre une vie estudiantine normale et compléter ses études sans ultérieurs soucis financiers, comme l'état français le conçoit pour tous ses citoyens étudiants. N'ayant accès à aucun document pour prouver mes dits mais étant très inquiète, en tant que maman moi-même, de l'équilibre de vie financier et psychologique de Maïa P., je m'en remet à vos conseils pratiques pour venir en aide à cette jeune fille.