- ven. 29 mars 2024 00:01
#41231
Bonjour,
Dans le cas d'une garde alternée 50/50, seuls les allocations familiales et les droits à l'aide au logement sont partagés.
-Comment expliquer que ce ne soit pas le cas pour les autres prestations (qui sont versées par défaut à l'allocataire "principal") ? En effet, il semble logique que si la garde est alternée 50/50, toutes les aides relatives à cette garde devraient aussi être partagées 50/50...(?)
-Si la notion d'allocataire "principal" peut s'entendre dans le cas d'une garde classique (1/2 week-end , moitié des vacances), pourquoi est-elle maintenue dans le cas d'une garde alternée 50/50 et pourquoi dans la majorité des cas au bénéfice de la maman ?
-Après une période minimale d'un an, il est possible de demander une alternance du bénéficiaire des prestations. Mais comme il faut l'accord des deux parents, si l'allocataire "principal" refuse (pour continuer à garder le bénéfice total desdites prestations...), l'autre parent a-t-il des recours pour imposer un partage ou une alternance et ainsi bénéficier des mêmes moyens que l'allocataire "principal" pour assurer une même qualité de prise en charge des enfants ?
Merci d'avance pour vos réponses et avis sur le sujet !
Dans le cas d'une garde alternée 50/50, seuls les allocations familiales et les droits à l'aide au logement sont partagés.
-Comment expliquer que ce ne soit pas le cas pour les autres prestations (qui sont versées par défaut à l'allocataire "principal") ? En effet, il semble logique que si la garde est alternée 50/50, toutes les aides relatives à cette garde devraient aussi être partagées 50/50...(?)
-Si la notion d'allocataire "principal" peut s'entendre dans le cas d'une garde classique (1/2 week-end , moitié des vacances), pourquoi est-elle maintenue dans le cas d'une garde alternée 50/50 et pourquoi dans la majorité des cas au bénéfice de la maman ?
-Après une période minimale d'un an, il est possible de demander une alternance du bénéficiaire des prestations. Mais comme il faut l'accord des deux parents, si l'allocataire "principal" refuse (pour continuer à garder le bénéfice total desdites prestations...), l'autre parent a-t-il des recours pour imposer un partage ou une alternance et ainsi bénéficier des mêmes moyens que l'allocataire "principal" pour assurer une même qualité de prise en charge des enfants ?
Merci d'avance pour vos réponses et avis sur le sujet !