Obstacles à la reprise d’études.
Posté : ven. 19 août 2022 14:43
Bonjour,
Madame Chantal Pacôme signait le 31 mai 2022, un article intitulé : « Comment reprendre ses études : des aides financières et de l’accompagnement peuvent être sollicités. »
J’ai plus de 45 ans, je suis au chômage et en fin de droit. J’aimerais reprendre mes études dans les plus brefs délais.
Je suis déjà diplômé de Lettres et Sciences-Humaines. Et, tout comme la jeune femme qui a quitté le monde de la finance à 39 ans, pour entamer des études de médecine, j’aimerais changer de spécialité.
Devrai-je reprendre les études à partir de la 1ère année, ou bien une admission en L3, voire en M1, est-elle possible ?
En effet, il ne suffit plus de déposer sa candidature pour s’inscrire dans une faculté. Il faut, à présent, monter un dossier, bien souvent passer un entretien, voire un examen, et surtout montrer « la cohérence de son parcours », avant d’être admis à s’inscrire.
Par exemple, une Licence 3 proposée par le CNED (formation qui se rapproche de celle qui m’intéresse), les conditions d’admissions sont :
« Être titulaire d'un Bac+2, ou bénéficiaire d'une VAE. »
Et « Candidature soumise à l’avis de l’IPAG-CIMP »
Mais le site universitaire de cette formation mentionne que le « public concerné » est :
« Les titulaires d'un BAC+2 (autres Licences 2ème année, D.U.T., B.T.S. ...). », certes.
Mais surtout « Les étudiants titulaires d'une L2 Droit, Economique ou AES. »
Ou encore, les « adultes qui désirent reprendre des études (salariés, demandeurs d'emploi...) titulaires du diplôme requis ou bénéficiant d'une validation d'acquis (VAPP, VAE). ». La VAPP ou la VAE nécessitent-elles d’avoir déjà travaillé dans la branche choisie ?
Dans un autre exemple de formation, les conditions d’admission requise en 1ère année de Master, sont : « (…) ou toute autre licence comportant 50% d’enseignements fondamentaux du master envisagé. »
Ces difficultés sont-elles surmontables ? A qui dois-je m’adresser afin de m’inscrire rapidement dans la formation choisie ?
Je vous remercie par avance pour vos réponses.
Madame Chantal Pacôme signait le 31 mai 2022, un article intitulé : « Comment reprendre ses études : des aides financières et de l’accompagnement peuvent être sollicités. »
J’ai plus de 45 ans, je suis au chômage et en fin de droit. J’aimerais reprendre mes études dans les plus brefs délais.
Je suis déjà diplômé de Lettres et Sciences-Humaines. Et, tout comme la jeune femme qui a quitté le monde de la finance à 39 ans, pour entamer des études de médecine, j’aimerais changer de spécialité.
Devrai-je reprendre les études à partir de la 1ère année, ou bien une admission en L3, voire en M1, est-elle possible ?
En effet, il ne suffit plus de déposer sa candidature pour s’inscrire dans une faculté. Il faut, à présent, monter un dossier, bien souvent passer un entretien, voire un examen, et surtout montrer « la cohérence de son parcours », avant d’être admis à s’inscrire.
Par exemple, une Licence 3 proposée par le CNED (formation qui se rapproche de celle qui m’intéresse), les conditions d’admissions sont :
« Être titulaire d'un Bac+2, ou bénéficiaire d'une VAE. »
Et « Candidature soumise à l’avis de l’IPAG-CIMP »
Mais le site universitaire de cette formation mentionne que le « public concerné » est :
« Les titulaires d'un BAC+2 (autres Licences 2ème année, D.U.T., B.T.S. ...). », certes.
Mais surtout « Les étudiants titulaires d'une L2 Droit, Economique ou AES. »
Ou encore, les « adultes qui désirent reprendre des études (salariés, demandeurs d'emploi...) titulaires du diplôme requis ou bénéficiant d'une validation d'acquis (VAPP, VAE). ». La VAPP ou la VAE nécessitent-elles d’avoir déjà travaillé dans la branche choisie ?
Dans un autre exemple de formation, les conditions d’admission requise en 1ère année de Master, sont : « (…) ou toute autre licence comportant 50% d’enseignements fondamentaux du master envisagé. »
Ces difficultés sont-elles surmontables ? A qui dois-je m’adresser afin de m’inscrire rapidement dans la formation choisie ?
Je vous remercie par avance pour vos réponses.