demande d'aspa impossible
Posté : mer. 5 août 2020 12:14
Bonjour,
Je suis à la retraite depuis le 010119, je touche 159.75€ de pension de retraite). A savoir que je suis en liquidation personnelle judiciaire simplifiée par décision du tribunal de Chartres en 2019…
Je dois avoir droit à l'aspa (alors que je dois y avoir droit depuis 65ans, le plafond de ressources à ne pas dépasser doit être de 16 826,64 €/an, j’en touche 1917€/an), actuellement bloqué, car il me manque un document (demandé par rsi…) que ma caisse de retraite se fait un malin plaisir à ne pas m'envoyer (en disant à l’assistante sociale qu’ils me l’ont envoyé trois fois ; je ne me rabaisserai pas à dire que ces gens sont des menteurs… car je n’ai absolument rien reçu) et que rsi se complaît par conséquence à ne pas me verser (l’aspa)…
Je survie donc difficilement actuellement ! Avec des emprunts mais jusqu’à quand ? Je veux bien participer aux revenus des FMC (fonctionnaires, malades, chômeurs) mais il y a une grosse nuance entre être solidaire et être grugé par des profiteurs de toute sorte…
Pour ce faire je déclare sur l'honneur ne toucher que 159.75€ de pension de retraite mensuelle, et vous demande donc, s’il vous plaît, de me faire verser le complément en guise de minimum vieillesse, ou de me communiquer à qui je dois m’adresser. Vous comprendrez aisément que la situation peu enviable ne peut perdurer.
Je vous remercie de m'avoir lu et souhaite vivement que ce courriel ou courrier aura des répercutions... Comme je n’arrive plus à me connecter sur leur site, il se peut que je vous envoie la présente par courrier postal (pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué, il faut bien malgré tout qu’ils se prouvent leur existence…). Je souhaite vivement ne pas être obligé de passer par un médiateur voire un avocat) qui me coûterait encore de l'argent, que je n'ai pas actuellement.
Je vous demande donc, s’il vous plaît, par la présente de faire avancer mon dossier dans le cadre de l’application de la loi auquel j’ai droit bien entendu, contrairement aux assistants sociaux à qui j’ai fait appel, mais aucune suite (si un rendez-vous pour d’en deux mois…ils doivent être en vacances, il est vrai que c’est l’époque)… En cas de manquement à ses obligations, un agent public peut faire l'objet d'une sanction disciplinaire.
Après ce courrier que je ne peux vous envoyer en recommandé avec A.R. (vous pourrez ainsi prétendre ne pas l’avoir reçu…) je suis prêt à lire vos menaces ou à accepter un rendez-vous : si toute fois vous pouvez intervenir en ma faveur.
Cordialement.
Je suis à la retraite depuis le 010119, je touche 159.75€ de pension de retraite). A savoir que je suis en liquidation personnelle judiciaire simplifiée par décision du tribunal de Chartres en 2019…
Je dois avoir droit à l'aspa (alors que je dois y avoir droit depuis 65ans, le plafond de ressources à ne pas dépasser doit être de 16 826,64 €/an, j’en touche 1917€/an), actuellement bloqué, car il me manque un document (demandé par rsi…) que ma caisse de retraite se fait un malin plaisir à ne pas m'envoyer (en disant à l’assistante sociale qu’ils me l’ont envoyé trois fois ; je ne me rabaisserai pas à dire que ces gens sont des menteurs… car je n’ai absolument rien reçu) et que rsi se complaît par conséquence à ne pas me verser (l’aspa)…
Je survie donc difficilement actuellement ! Avec des emprunts mais jusqu’à quand ? Je veux bien participer aux revenus des FMC (fonctionnaires, malades, chômeurs) mais il y a une grosse nuance entre être solidaire et être grugé par des profiteurs de toute sorte…
Pour ce faire je déclare sur l'honneur ne toucher que 159.75€ de pension de retraite mensuelle, et vous demande donc, s’il vous plaît, de me faire verser le complément en guise de minimum vieillesse, ou de me communiquer à qui je dois m’adresser. Vous comprendrez aisément que la situation peu enviable ne peut perdurer.
Je vous remercie de m'avoir lu et souhaite vivement que ce courriel ou courrier aura des répercutions... Comme je n’arrive plus à me connecter sur leur site, il se peut que je vous envoie la présente par courrier postal (pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué, il faut bien malgré tout qu’ils se prouvent leur existence…). Je souhaite vivement ne pas être obligé de passer par un médiateur voire un avocat) qui me coûterait encore de l'argent, que je n'ai pas actuellement.
Je vous demande donc, s’il vous plaît, par la présente de faire avancer mon dossier dans le cadre de l’application de la loi auquel j’ai droit bien entendu, contrairement aux assistants sociaux à qui j’ai fait appel, mais aucune suite (si un rendez-vous pour d’en deux mois…ils doivent être en vacances, il est vrai que c’est l’époque)… En cas de manquement à ses obligations, un agent public peut faire l'objet d'une sanction disciplinaire.
Après ce courrier que je ne peux vous envoyer en recommandé avec A.R. (vous pourrez ainsi prétendre ne pas l’avoir reçu…) je suis prêt à lire vos menaces ou à accepter un rendez-vous : si toute fois vous pouvez intervenir en ma faveur.
Cordialement.